Christian COUVREUR
Président du Comité PIFO
Scrabblerama de Juillet-Août 2007
L’ETAT CIVIL : Christian Couvreur, 37 ans, Consultant Manager en Informatique.
LE SCRABBLEUR
Depuis... Janvier 1995 en Duplicate.
A quelle occasion ? J’ai appris à jouer au scrabble classique avec ma mère alors que je devais avoir dans les 8/10 ans … Fin 1994, j’ai participé à l’émission de jeu de Scrabble sur RTL TV, après l’avoir regardée de multiples fois à la maison. Je m’étais déplacé à Metz pour l’occasion. J’ai d’ailleurs perdu à la deuxième partie. C’est dans ce contexte que les gens de la production de RTL TV m’ont demandé si je faisais partie d’un club et si j’étais classé. Je venais donc d’apprendre que la FFSc et des clubs existaient, et que l’on pouvait jouer en Duplicate. Dès mon retour en région parisienne, j’ai contacté la Fédé pour avoir l’agenda et pour localiser le club le plus proche de chez moi. Ces informations en poche, je me suis présenté un jeudi soir de janvier 1995 au club de Montrouge et … j’y suis toujours !
Le meilleur souvenir : La victoire de Montrouge en Finale Interclubs, en division Honneur en 1995, qui a été un premier bon souvenir !
Le plus mauvais souvenir : Ma non qualification à la Finale du Championnat de France en 2000 à Quimper, à 1 place près !
Le partenaire de paires idéal : Claire Bonneau, que je n’ai pas choisie que pour ses connaissances beaucoup plus importantes que moi en vocabulaire !
Le plus beau mot de l’ODS : UNE BALANÇOIRE, bien sûr !
...et le plus laid : STERFPUT
Une anecdote scrabblesque : Originaire du Pas-de-Calais, j’ai quelquefois eu des tours avec des mots d’un usage un peu local ! Notamment, je me rappelle un premier coup d’une partie jouée à Cannes il y a quelques années : l’arbitre tire ?BEILOT, je rédige immédiatement un bulletin et me repose 3 minutes, sûr du mot joué, alors que d’autres solutions m’apparaissent ensuite. Quelques coups plus tard, un zéro me parvient avec la mention : mot non admis « Biloute » ! De là à dire que c’est un mot qui « éblouit » trop pour être valable …
Un souhait : Passer un jour 1ère Série … il me reste à trouver le temps pour m’entraîner sérieusement et pour apprendre de nouveaux mots …
L’ÊTRE HUMAIN
Les hobbies : En plus du Scrabble, la lecture, la musique, les jeux de cartes, les promenades et randonnées, les voyages …
Le livre que tu emmènerais sur une île déserte : Je n’ai jamais lu deux fois le même livre. S’il fallait en relire un, je citerais par exemple « Premier de Cordée » de Roger Frison-Roche. Un livre qui m’a beaucoup marqué de par l’histoire, le lieu (la montagne) et les enseignements sur la nature humaine …
Tes chanteurs préférés : Je préfère d’une manière générale les chanteurs francophones d’hier à aujourd’hui : connus (Ferrat, Duteil, Brel, Sardou, Cabrel, Sanson, De Palmas, Lemay, …) ou moins connus (Capart, Budet, …) sans oublier des groupes divers et variés (La Tordue, les Têtes Raides, les Fatals Picards, …).
Les vacances idéales : Dans un pays hispanisant de préférence, en y conjuguant découverte du pays, de ses coutumes, … et farniente.
Le plat ou le type de cuisine préféré : La viande rouge, quelle qu’elle soit ! et la glace, et …(il n’y a pas assez de place dans le journal).
Une couleur : Noisette.
Un fruit : Abricot.
Un poids : Plume.
Une époque de l’Histoire : Celle de la formation et du développement de l’empire Inca, avant la conquête espagnole.
L’homme célèbre que tu aurais voulu être : Un découvreur : Thor Heyerdahl.
...Et ne pas être : Un autre découvreur : Robert Oppenheimer.
Un leitmotiv, une maxime ou un dicton : Bonjour, comment ça va bien ?
Pêle-mêle, tu aimes... : Claire, les chiens (les labradors en particulier), les chats, les gens sincères, les voyages, randonner en montagne et profiter des paysages vertigineux et du silence de la nature, faire un bon repas avec des gens que j’apprécie, les jeux (de lettres, de cartes, …).
...et tu détestes... : Les abats d’une manière générale, les profiteurs, les gens qui ne respectent pas les us et coutumes du lieu où ils se trouvent, et agissent comme s’ils étaient chez eux et comme si on leur devait tout, ceux qui se garent sur les places « handicapés » alors qu’ils ne le sont pas, les hypocrites, les gens qui parlent pour ne rien dire, les incompétents, les fainéants systématiques, les embouteillages interminables …
Et pour finir, des extraits d’un livre qui t’a marqué : « C’est seulement lorsqu’on est mutilé ou appauvri physiquement qu’on se rend compte de la valeur de l’existence. » ; « La vie doit être une lutte continuelle. Malheur à ceux qui ne combattent pas, qui se laissent aller aux choses faciles. » ; « Il faut se dépenser jusqu’à la mort, et considérer le repos comme un commencement de la mort. Travailler, lutter, agir, mener une vie rude. Et on y trouve plus de joie qu’à se laisser aller à fainéanter. » (Premier de Cordée, Roger Frison-Roche)